Langue : allemand.
Prononciation : [ˈpɔməs].
Sens : frites.
Pommes est l’abréviation familière de Pommes frites (je vous laisse deviner de quelle langue ça vient). On peut dire aussi Fritten. Et n’oubliez pas de prononcer le S de Pommes.
Langue : allemand.
Prononciation : [ˈpɔməs].
Sens : frites.
Pommes est l’abréviation familière de Pommes frites (je vous laisse deviner de quelle langue ça vient). On peut dire aussi Fritten. Et n’oubliez pas de prononcer le S de Pommes.
Langue : géorgien.
Transcription : mama.
Prononciation : écouter.
Sens : père.
La plupart des langues ont un mot ressemblant à « mama » qui veut dire « mère » ou « maman ». Sauf en géorgien, où ça veut dire « père ».
« Mère » se dit დედა (deda) en géorgien. Et deda veut dire « grand-père » en serbo-croate, alors qu’en géorgien, « grand-père » se dit პაპა (p’ap’a).
Langue : finnois.
Prononciation : [ˈkuːsi].
Sens : six et épicéa.
Les deux sens de ce mot sont dus aux hasards de l’étymologie. Ils se déclinent différemment : par exemple, au génitif, kuu devient kuuden dans le sens de « six » mais kuusen pour « épicéa ».
Théoriquement, ce mot peut aussi signifier « ta lune » (kuu : « lune », –si : suffixe possessif de la deuxième personne du singulier), mais je doute qu’il soit très utilisé dans ce sens-là.
Langue : espéranto.
Prononciation : [ˈspoko].
Sens : rayon (d’une roue).
C’est l’un des derniers mots que j’ai appris en espéranto. Il vient de l’anglais spoke, qui a le même sens et que je ne connaissais pas non plus.
Parmi les autres mots en espéranto qui peuvent se traduire par « rayon », il y a radio (rayon de lumière), breto (rayon d’une étagère) et radiuso (rayon d’un cercle).
D’autres mots en rapport avec les roues sont rado (roue), nabo (moyeu), pneŭo (pneu), radrando (jante) et aertubo (chambre à air).
Langue : allemand.
Prononciation : [ˈdaxlaˌviːnə].
Sens : neige qui tombe d’un toit.
Littéralement, ce mot signifie « avalanche (Lawine) de toit (Dach) ». L’hiver, en Allemagne, on peut voir des panneaux « Vorsicht Dachlawinen! » : « Attention à la neige qui tombe des toits ».
Langue : russe.
Transcription : bezymjannyj palec (ou bezymiannyï palets si vous préférez).
Prononciation : [bʲɪzɨˈmʲænːɨj ˈpalʲɪt͡s].
Sens : annulaire.
Littéralement, cela signifie « doigt anonyme ». Les autres doigts sont :
Je suppose que « doigt anonyme » est une autre manière de dire « le doigt qui n’a rien de spécial ».
Langue : français.
Ce mot a une étymologie intéressante : il a fait la tour de la Méditerranée avant d’arriver en français. Si j’en crois le Wiktionnaire :
Le parcours a été encore plus long dans d’autres langues : apparemment, le russe абрикос (abrikos) vient du néerlandais abrikoos, lui-même issu de l’allemand Aprikose, emprunté au français.
Langue : maori.
Prononciation : écouter.
Sens : Nouvelle-Zélande.
Le maori est la langue des Maoris, les indigènes de Nouvelle-Zélande. C’est une langue polynésienne parlée par environ 100 000 personnes. C’est l’une des trois langues officielles de Nouvelle-Zélande, les deux autres étant l’anglais et la langue des signes néo-zélandaise.
L’étymologie de Aotearoa n’est pas certaine, mais selon l’hypothèse la plus couramment admise, cela signifie « pays du long (roa) nuage (tea) blanc (ao) ». L’utilisation de ce mot pour désigner la Nouvelle-Zélande date du xixe siècle ; avant, c’était seulement le nom de l’île du Nord.
Langue : thaï.
Transcription : mók gà raa kom, mokkarakhom (selon le système).
Prononciation : [mókkàraːkʰom].
Sens : janvier.
Le calendrier officiel de la Thaïlande est utilisé depuis 1888, et depuis 1941 les années sont calées sur le calendrier grégorien. Le calendrier thaïlandais est maintenant identique au calendrier grégorien, à ceci près qu’il a 543 ans d’avance : pour les Thaïlandais, nous sommes aujourd’hui le 1er janvier 2556 (1 มกราคม 2556).
Langue : hongrois.
Prononciation : [ˈɛgeːʃːeːgɛdrɛ].
Sens : à ta santé.
On dit ce mot quand on trique et aussi quand quelqu’un éternue. On l’utilise en parlant à quelqu’un que l’on tutoie ; l’équivalent poli est egészségére.
Comme beaucoup de mots hongrois, celui-ci a l’air long et imprononçable, mais il est composé de plusieurs suffixes :
Notons aussi que egészsége (« sa santé ») est un beau palindrome. Ou peut-être pas, parce que sz est considéré comme une seule lettre en hongrois.